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Le tour du monde à vélo de Thomas, Ronan, Rémy et Nicolas! :::Septembre 2004 - Juin 2005 :::14 000 km


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 Nous sommes ici dans la partie carnet de route - Amérique du Sud - Brésil.

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Surface : 8 511 965 km²
Nombre d’habitants : 172 000 000
Capitale : Brasilia
Langue : portugais
Monnaie : real (BRL)
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Retrouvez les différents compte rendu en provenance du Brésil en cliquant sur l'un des liens suivants :

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Mardi 10 Mai 2005    voir l'album photos du Brésil

de la frontière agentine à Sao Paulo

Levé 8h ce lundi 25 avril. Il fait couvert mais ne pleut pas... On part! En un quart d’heure on rejoint la frontière qu’on passe très facilement. On passe les premiers kilomètres au milieu d’une végétation luxuriante, de la terre rouge, et des collines. On arrive à la première ville, et tout de suite on plonge à deux pieds dans le pays en s’arrêtant au McDo du coin! Puis les formalités usuelles: on retire de l’argent, passe à l’office de tourisme. On repart, ça monte et ça descend. A 17h on arrive à Medianeira, une ville western, où l’on trouve un hôtel en centre ville. On parle nos premiers mots de portugais, ou plutôt de portugnol, et déjà nous avons un aperçu de la population du pays: blancs, métisses et noirs se côtoient dans les rues. Mais le plus étonnant, et c’est ce qui est singulier ici, c’est que l’on trouve beaucoup de blancs parmi les pauvres, ce qui ne se passait pas dans l’ensemble des pays précédemment traversés.

Le lendemain, on prend notre premier café de manha (petit déjeuner) presque toujours inclus dans le prix de la chambre, pain (pan frances), fromage, jambon, jus d’orange, gâteau, beurre, chocolat, lait... Bien rassasiés, on peut partir! On est dans une campagne vallonnée, qui ressemble à la campagne française. Avec des cultures et des champs partout, le long de longues descentes suivies de longues montées. On arrive à Cascavel le soir, où l’on trouve un hôtel en centre ville encore une fois, à 15 reals (5 euros) par personne.

Les journées se suivent et se ressemblent, en tout cas du point de vue des paysages et du profil de la route. Un petit peu de pluie par-ci, une crevaison par-là... le 27 avril, on s’arrête demander l’hospitalité dans un gymnase en pleine effervescence, rempli de jeunes jouant au volley. On sort notre meilleur portugais pour leur faire comprendre qu’on a besoin d’un petit coin de la salle pour y dérouler nos matelas. On nous dit qu’ici c’est pas possible mais qu’il y à un hôtel un peu plus loin. On répond que c’est gentil mais qu’on a pas beaucoup d’argent (c’est ce qu’on répond tout le temps de toute façon:-)). Une dame nous y emmène quand même en nous disant que l’on ne payera pas. On la suit. On passera le reste de la soirée dans deux chambres super, en y regardant un match amical Bresil-Guatemala, avec Romario y faisant son jubilée à l’âge de 39 ans. Petit déj’ le lendemain, et on repart de cette ville tout sourire en n’ayant pas sorti le moindre sou de notre poche, et en comprenant que c’est au bureau des sports de la ville que la note sera adressée... Sympa!

Le 29, on roule bien la matinée, s’arrête pour déjeuner... Mais on est vite interrompu par une pluie fine qui nous fait remonter sur les vélos après seulement 30 minutes de pause. En un quart d’heure, ça se transforme en véritable déluge, et bien sur au milieu de nulle part. On est parti pour 2h30 de folie, le temps de rallier la prochaine ville! Rapidement on a les pieds trempés (on a l’impression d’avoir une éponge à la place des semelles), on roule dans 2 centimètres d’eau et se prend des gerbes d’eau à chaque passage de camion. Pour couronner le tout, Tom crève à 500 mètres du but. On répare chez un garagiste, à l’abri. Puis on trouve un petit hôtel où passer la nuit. On étend nos affaires sur tout ce qui dépasse dans la chambre: rebords de fenêtre, entourages de lit, porte manteau, tranche des portes... Petite douche chaude. Après avoir discuté avec quelques personnes nous décidons de rester là le lendemain: nos affaires ne seront pas sèches (spécialement les chaussures), et les prévisions météo pour demain sont mauvaises. Le jour suivant, devinez quoi: il fait beau! Ca ne fait rien, on en profite pour faire un tour en ville, faire une mise à jour, et prendre connaissance de l’actu française.

Deux jours après, une longue journée de vélo nous emmène jusqu’à Punta Grossa. Où nous faisons également un jour d’arrêt. Nous sommes en effet prêts du parc naturel de Vila Velha, où des formations géologiques singulières et des pierres sculptées par le vent rendent le paysage extraordinaire. Nous prenons un premier bus, puis un second pour finalement arriver au milieu de la campagne prêt du parc. C est alors qu’un policier nous dit que le parc est ouvert tous les jours de la semaine, sauf le premier mardi de chaque mois. Et aujourd'hui nous sommes le premier mardi du mois ... ouinnnn! Nous nous rabattons sur des puits naturels accessibles à proximité, et rentrons en ville. Puis nous nous en retournons à notre hôtel où le propriétaire nous fait connaître le gaucho. Typique du Sud du Brésil (états du Rio Grande do Sul et Parana où nous sommes plus précisément), ce type de musique est un genre de country en portugais où guitares et accordéons ont la part belle. Quelques groupes (garotos de ouro -les garçons en or- ou tercera dimencao - troisième dimension - pour ceux qui ont un kazaa ou un truc dans le genre et qui veulent écouter), de vrais cow-boys sont acclamés par des millions de personnes la bas.

Arrivée le 5 à Curitiba. Ville de 1.6 millions d habitants, connue dans le Brésil pour être une ville tranquille, très européenne, et surtout une ville verte, remplie de parcs. On y visite le centre historique, le jardin botanique et sa magnifique serre, la tour de télécommunication d’où l’on a une vue de l’ensemble de la ville, les mémoriaux arabes, italiens, allemands, ukrainiens rendant hommages à tous les fondateurs de la ville. Le Brésil, et surtout le Sud a été en effet peuplé par de nombreux colons venus tenter leur chance d’Europe.

De Curitiba, nous prenons un bus - onibus en portugais - pour - enfin!- la capitale économique du pays: Sao Paulo! Un bus nous permettra de rentrer plus facilement dans la ville, et avec moins de danger. Confortablement assis dans nos sièges, on se félicite quelques heures plus tard de la décision prise. Un trafic monstre, pas de bas-côté... Arrivés à la gare de Tiete, nous prenons le métro, sensé être interdit aux vélos, mais 10 minutes de discussion intense avec la sécurité font pencher la balance en notre faveur. Après cela une petite heure de vélo avant d’arriver en fin de journée dans un condominio de Santa Amaro dans le Sud Ouest de la ville. Nous y sommes hébergés par Paula et sa mère, Nara (Roger, le père part pour une semaine en Allemagne). On sort avec Paula et Cybille une de ses copines à Samba dans le quartier Santa Magdalena, un bar super sympa avec de la samba - si si j’vous assure - en live, les gens qui se mettent à danser après avoir pousser les tables du bar en buvant un schopp (bière pression) ou une caipirinha (on reviendra sur cette boisson excellente plus tard).

Après une courte nuit, Nara nous conduit gentiment chez Roland, un ami d’ami d’ami. Il habite avec sa famille un joli et moderne appartement dans le centre ville, dans un immeuble où la sécurité maximum, permet d’empêcher les vols organisés d’appartements par des groupes armés. D’ailleurs la ville, tout le monde s’accorde à le dire, est très dangereuse, mais bien moins que Rio. Les gens roulent tout le temps les portent fermées et le soir, à partir d’une certaine heure, ils ne s’arrêtent plus aux feux par peur d’être braqué au volant. Chacun d’ailleurs a son histoire à nous raconter sur ce qui est arrivé à lui ou à l’une de ses connaissances. Mais sortons de la psychose. Il ne nous est rien arrivé pendant notre séjour ici, et jamais nous ne nous sommes senti en insécurité. Il suffit de faire attention aux endroits où l’on va et a l’heure à laquelle on y va.

Ici est la fête des mères aujourd'hui, comme l’intégralité des affiches publicitaires nous le rappelle. Impossible de l’oublier avec ce matraquage! Nous allons déjeuner chez les beaux-parents de Roland. Nous avons le droit à une Fejuada. Plat typique et anciennement plat des esclaves, il consiste de plusieurs viandes, de semoule, de lentilles, de riz, de purée et de salade. Excellent. Puis nous regoûtons la Caipirinha, la boisson du pays: fruit pilé au fond du verre (le plus souvent du citron), sucre, glaçons et de la cachasa (alcool de canne a sucre) ou de la vodka (mais alors ça donne une Caipivodka). Après ce magnifique repas qui se termine par des gâteaux au chocolat excellents, nous partons rapidement au stade proche, pour participer au derby: Corinthians- Sao Paulo, deux équipes de la ville qui tourne à l’humiliation: les Corinthians sont battus 5 à 1 chez eux. Autant dire que les supporteurs ne sont pas contents, et on a le droit à encore plus de spectacle avec quelques jets de bancs sur les policiers et des altercations. Nous nous éclipsons du stade en évitant les coins chauds et rentrons à la maison. Assez d’émotions pour la soirée!

Le jour suivant, nous visitons la ville. Le bus (c’est sympa les gens assis portent les sacs des gens debout!) puis le métro nous emmènent au Pateo do Colegio (point de départ de la construction de la ville), et la Praca (place) da Se. Visite de la cathédrale da Se, balade dans les rues qui fourmillent de gens sillonnant les étalages des vendeurs de babioles en tout genre. Ce qui semble cartonner la bas: les poches de silicone pour rembourrer les soutiens-gorge!

Pour le dernier jour nous allons voir Roland à son bureau, dans le quartier de Santa Cecilia. Il tient en fait une maison d’édition, une affaire familiale. Il nous fait faire le tour des ateliers, et nous partons ensuite au restaurant, dans une churrascaria haut de gamme. Pour un prix fixe, c’est buffet à volonté, et une dizaine de viandes qui nous sont proposées par les serveurs qui passent les uns après les autres. En dessert: crème de papaye. Il existe d ailleurs au Brésil un grand nombre de fruits exotiques qui sont excellents, comme le fruit de la passion, et qui sont très peu chers. Nous finissons la journée à la pinacothèque où nous assistons à une exposition. Puis nous rentrons préparer nos affaires à la maison, afin de partir demain pour la côte! Poumon de l’activité économique brésilienne, avec ses 17 millions d’habitants, pleine de vie, Sao Paulo nous aura laissé un très bon souvenir.

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Dimanche 29 Mai 2005    voir l'album photos du Brésil, 2ème partie

de Sao Paulo à Rio de Janeiro

Mercredi 11 mai, après des « au revoir » et des remerciements à Narah et Paulha, nous quittons la plus grande ville du Brésil, et l'une des plus grande du monde, en mini bus, pour une question de sécurité. 1h30 dans le van, pour être déposés en périphérie, sur l’autoroute, que nous quittons rapidement. Nous prenons la route direction la côte, contournons la ville de Mogis das Cruzes, roulons sur une route agréable, principalement en pente douce. En effet, nous sommes encore à 1000m d’altitude et naturellement nous avons le droit à l’une des plus belles descentes de ce tour du monde, dans la forêt, avec quelques belles chutes d’eau sur le côté ! Nous faisons quelques stops pour admirer le paysage et la mer que nous apercevons au loin. Rémy crève deux fois dans la même journée... a t’il en tête de revenir au classement des crevaisons ? Nous arrivons en début d’après-midi à Riviera de Sao Laurenzo, une ville balnéaire avec beaucoup de grandes et luxueuses résidences de vacances. Rolland, que nous avions rencontré à Sao Paulo, nous prête son appart’ pour quelques jours ! Nous arrivons en début d’après midi à destination et découvrons un superbe appart’ avec vue sur les palmiers, le sable fin et la mer ! Si le début du Brésil nous a peu passionné, la deuxième partie du séjour semble déjà bien plus agréable ! Il fait chaud et nous ne tardons pas à nous retrouver sur la plage, les surfs sous le bras et le ballon au pied, pour un bon foot, jusqu’au soleil couchant. (Seuls les Porthsmoutiens peuvent comprendre les motivations de ces deux-deux, pas vrai ?). Les trois jours suivants se passent sur la plage, entre foot, volley et surf. La seule distraction ludique, mais néanmoins très intéressante sera la visite de l’ETA, la station de traitement des eaux de la ville. Nous comprenons alors comment est traitée l’eau et quels sont les différents contrôles effectués avant qu’elle soit distribuée dans cette ville qui a obtenu des distinctions pour la qualité de ses eaux, aussi bien l'eau courante que l'eau de mer...

Nous quittons donc le confort de l’appartement le lundi 16 mai, pour 8 jours de vélo jusqu'à Rio de Janeiro. Nous longeons la côte, magnifique mais très difficile car très vallonnée ! Dès la première journée, on nous avait prévenu, il y a quelques « montagnes » à passer ! En réalité, il s’agit de passer les caps, après avoir longé la plage ! Nous roulons dans une forêt vierge superbe, souvent au bord de l’eau, avec la mer et les îles en contrebas. Il fait chaud, très chaud, Rémy continu son festival crevaison, encore deux aujourd’hui et nous finissons la journée par une côte mémorable, certainement la plus dure depuis le début de ce tour du monde. Un coup de chapeau à Rémy et Nico, qui surmontent la difficulté, alors que Rony et Tom finissent à pied! La journée du lendemain est un peu similaire mais le spectacle est toujours aussi appréciable. La route surplombe la mer et les plages, les îles et les bateaux. Nous passons Sao Sebastien et finissons la journée à Caraguatuba. Le soleil est toujours aussi présent la journée suivante, la route est un peu plus plate et nous ne nous lassons pas des belles plages ! Nous nous arrêtons en fin d'après midi à Ubatuba, dans l'appart’ d'un ami de Marcello. Alors Marcello, un ami de la famille Crèche, est l'homme à connaître au Brésil, puisqu'il a des amis très accueillants partout sur notre route ! Nous faisons un petit foot sur la plage, écrasant les brésiliens 6 a 0 : la France n'est pas championne du monde de beach soccer pour rien, titre acquis sur la plage de Copacabana quelques jours plus tôt ! Le mercredi, nous passons le tropique du Capricorne puis quittons l’état de Sao Paulo pour entrer dans celui de Rio. Nous nous arrêtons dans la belle ville de Parati, sur la côte, typique de l'ère coloniale portugaise, avec des rues en vielles pierres, des façades blanches et des volets très colorés. Nous logeons dans une possada très agréable et reprenons la route du littoral. Du vélo, toujours du vélo, mais des pauses très agréables, surtout quand nous déjeunons au petit bar d'une plage déserte, les pieds dans l'eau... Il nous reste 3 jours de vélo jusqu’à Rio, et à l'image des jours précédents, il y a toujours de belles montées, de belles descentes, de belles suées et de belles vues ! Il y a aussi de plus en plus de monde sur la route, on voit souvent sortir un pouce de la fenêtre, les gens nous saluent sur le bord de la route, c'est plutôt sympa. Après une bonne journée à 90 bornes, assez fatigante, nous trouvons tout de même le courage de défier les locaux au foot pendant 2 heures, sur le terrain de sport de la place centrale de Mangaratiba; la nuit qui suit est très appréciée! L'avant dernière journée de vélo nous amène dans Rio, dans le quartier de Santa Cruz, à 70 km du centre ville. Voici une semaine que le soleil donne, mais l'arrivée dans la fameuse ville de Rio de Janeiro se fait sous la pluie ! Encore deux crevaisons pour Rémy ! La mer est déchaînée et nous offre un spectacle superbe. Nous sommes trempés, à tordre, et arrivons dans le quartier de Leblon en début d'après midi : Rio nous voila !

Nous sommes accueillis par Mauro, le frère de Marcello et sa femme Regina et passerons la nuit chez leurs amies Suelly et Sophie. La grisaille persiste, et le lendemain nous profitons de ce mauvais temps pour nous évader dans les montagnes, à Nova Friburgo. 2h30 de bus pour arriver chez Marisa, une amie de la famille Crèche et la soeur de Marcello. Elle habite une possada (hôtel pension) perdue dans la nature, au milieu des chevaux. Nous passons donc deux jours au vert, à profiter entre autre du sauna et du feu de cheminée. Nous rentrons sur Rio le mercredi 25 mai, et retrouvons Pedro, le fils de Marcelo, qui nous accueille chez sa grand-mère et sa tante, sur les hauteurs de Santa Theresa. Pedro a étudié 20 ans en France et sera pour nous un guide hors paire. Quatre jours de visite dans Rio, un tram pittoresque qui nous emmène visiter le quartier de Santa Theresa, la vue panoramique magnifique, extraordinaire même, de la baie de Rio depuis le Christ, le Pain de sucre, les quartiers de Leblon, Ipanema et Copacabana...et surtout le plus important: les plages ! Le soleil est revenu, et le moment que nous attendions arrive enfin : la ballade le long de la plage de Copacabana, pour le plaisir des yeux (voir photos!), suivi du beach volley sur Ipanema... le bonheur ! Nous nous fondons presque au milieu des cariocas !

Il y a aussi des rencontres, avec Marcello, sa famille et ses amis, des rencontres toujours passionnantes ! Toutefois notre dernier jour en Amérique du Sud sonne comme la seule mauvaise note de notre séjour pourtant très agréable : alors que nous jouons au foot sur la plage d'Ipanema, Rony se fait voler son sac à dos, pourtant bien gardé par Nico. Il a suffit d'une bonne ruse des Brésiliens pour voir le sac disparaître. Mais nous devons vous avouer ce qu'il y avait dans ce foutu sac : une carte bleue, un appareil photo, et surtout le disque dur avec toutes nos photos depuis le 19 septembre...oups la boulette ! Nous avions bien fait des sauvegardes sur CD, mais nous avons tout de même perdu toutes nos photos de l'Amérique du Sud, c'est rageant n'est-il pas ? Aussi, pour fêter cela et les 24 ans de Thomas par la même occasion, nous allons au Democrativo, un bar très sympa dans une vieille baraque du centre ville. Un groupe joue de la samba toute la soirée pour le plaisir de tous les couples qui dansent la samba sur la piste de danse. C'est un bonheur de voir ces gens danser et s'éclater sur une telle musique, et je crois que notre style bien marqué a impressionné !

Nous quittons Rio de Janvier, le Brésil et l'Amérique du Sud le lendemain, dimanche 29 mai, pour nous rapprocher un peu plus de la France avec ce vol pour Casablanca. Mais nous avons toujours en tête ce refrain, que tout le monde fredonne le long de la plage: "quand tu souris, je m'envole au paradis je vais à Rio...de Janeiro!"

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